EN HOMMAGE A MON CHIEN
Le 2eme jour
J’ai vu dans ces yeux un autre regard
Nous avion en fait
'Communiquer'
Je l’aie promené dans mon chemin
J’ai commencé à le caresser à jouer un peu
Il a vu mes chevaux et les autres
Il à goûter a la nature qu’il ne connaissait plus avec son maître Malade
Pendant 6 mois il faisait des allers-retours
Chez moi et chez son maître quand celui-ci rentrer de l’hôpital
Et le fait le plus marquant dans la fin de vie de son propriétaire
Car lors de ma dernière visite a l’hôpital
Car lui non plus n’avait pas de famille
Je lui ai apporté une photo de popi pour mettre sur son chevet
Les infirmières qui étaient auprès de lui
Lui ont dit
'Georges vous avez vraiment un très beau chien'
Il m’a regardé et c’est retourné vers les infirmières
Et a répondu
Non je n’aie plus de chien maintenant
Deux jours plus tard a 7 heures au matin ont m’a appelé
Pour me dire que Georges était parti
Et stupéfaite ont a osée me demander
Que fait t’on de popi
Ont l’euthanasie !!!
Alors que sans vraiment me le demander et surtout refusant sa maladie
Mais son regard suffisait à la parole
Car il savait que popi resterai avec moi
À l’enterrement de son maître j’ai voulu que popi soit présent pour le départ
Et au cimetière
Popi était là devant le cercueil et devant tous ces anciens combattants
'La trompette a la mort a retenti'
Et nous somme reparti ensuite
Nous sommes devenus très lier lui et moi
Trop peux être ou pas assez !!!
Certains en étaient jaloux de notre complicité !!
Il a partagé mes joies et mes peines mes souffrances que certain connaissent
Tout le monde le savait heureux avec moi !!!
Il n’avait que 9 ou 10 ans
On ne sait pas vraiment car son maître ne l’avait jamais
Vacciné et tatoué
Jamais il m’a fait défaut chez moi ou au travail
Il était ma fierté et le restera a jamais
Je n’aurai jamais plus un compagnon comme lui !!!
Tout le monde me dit :
Oui mais les autres sont là !!!
Les chevaux aussi !!!
Oui mais lui n’est plus la
Je ne le verrai plus aboyer vers le facteur et revenir fièrement il me suivait partout
Je ne pouvais jamais m’absenter
Car aussitôt il paniquer et devenait comme fou
De peur de me perdre
Et aujourd'hui c’est moi qui ait dit stop à la maladie et
Son cœur a cessez de battre hier a 18 heures
Je tremble de partout ne fait que pleurer
Ont dit que le temps efface la douleur
Mais non je ne pense pas
Il représenter toute ma vie
Enfin voilà mon histoire
Peu banale mais haut combien difficile a vivre